L'AUTRE MUSIQUE REVUE
2 CIRCONSTANCES
DÉAMBULE

OÙ ON S'ENGAGE DANS

LE BOIS DE LA QUESTION

Les pratiques sonores circonstanciées sont loin d'être des pratiques reconnues et évidentes. Ce chapitre vous permettra d'associer des pratiques précises à la question du « circonstanciel ».

DÉCOR SONORE ET URBAPHONIX | | Michel Risse

Dirigée par le compositeur Michel Risse, la compagnie Décor Sonore est un outil de composition et de réalisation unique en son genre, dédié à la création sonore en espace libre. Retrouvez un « interviouïe » inédit de Michel Risse, assorti d'un reportage dessiné sur les coulisses de son travail avec son commando de sound-taggeur Urbaphonix. Puis, pour aller plus loin, Michel Risse nous livre quelques pistes de lecture théorique pour comprendre son travail et ses partis pris.

Le musicien en clown (reportage) | | Frédéric Mathevet

Intervouïe  | | Michel Risse et Frédéric Mathevet

Un art sonore contextuel | | Michel Risse

KURUWARRI | | Frédéric Mathevet

Deux sujets complémentaires de réflexions dans ce dossier. D'une part, une pièce pour piano, soprano et fieldrecording écrite à partir de tampons de tablature de piano aposée dans des contextes différents. D'autre part, un texte de F. J. Bonnet, qui nous rappelle qu'il n'y à pas d'enregistrement vrai ou juste, mais juste des enregistrements.

Kurrawari | | Frédéric Mathevet

Field Recording : usages et supplémentarité contextuels de l’enregistrement sonore | | François Bonnet

L'ENVERS DU VISIBLE | | Jean-philippe Velu

L'Envers du visible, fantasmagorie sur l’allégorie de la caverne de Platon, est un spectacle qui a été réalisé dans une carrière souterraine, la carrière Delacroix, située en région parisienne.

L'Envers du visible (vidéo) | | Jean-Philippe Velu

Musique, son, lieux de hasard : l'envers du visible | | Jean-Philippe Velu

Ouvertures circonstancielles | | Jean-Philippe Velu

MUSIQUES D'AMBIANCE CINÉMATOGRAPHIQUES | | Célio Paillard

Existe-t-il des musiques dénuées de tout aspect spectaculaire ? Peut-on envisager de nouvelles musiques d’ameublement dont l’effet ne serait pas manifeste, mais qui orienteraient la perception vers une expérience cinématographique du quotidien ?